Management package

Le management package consiste à attribuer aux dirigeants et/ou salariés une quote-part du capital de votre société. Il crée ainsi un intérêt financier et des objectifs communs entre les personnes concernées. De nombreux mécanismes sont à votre disposition : stock-options, BSPCE, actions gratuites, émissions de valeurs mobilières particulières ou de préférences, obligations, promesse de vente, répartition non proportionnelle de prix de vente…

Le management package s’adapte à de multiples contextes, par exemple :

  • la start-up, qui l’utilise comme complément potentiel de rémunération pendant sa phase d’amorçage ;
  • les entreprises dont les actionnaires majoritaires sont conscients de l’intérêt d’ouvrir le capital ;
  • les investisseurs institutionnels soucieux de motiver les équipes dirigeantes lors de LBO.

Dirigeants ou salariés, des bénéficiaires à accompagner

DAHAN Avocats accompagne également les bénéficiaires de ces plans de managements packages :

  • les dirigeants déjà actionnaires, qui renforceront leur participation en fonction de l’atteinte d’objectifs économiques et financiers fixés par les autres actionnaires
  • les salariés, qui se verront attribuer une quote-part du capital de la société qui les emploie, gratuitement ou via un investissement.

Quels objectifs poursuivis ? Quelles modalités de sortie ?

Mettre en place un management package, c’est d’abord s’interroger sur les objectifs poursuivis et sur le meilleur moyen de les atteindre. DAHAN Avocats accompagne dirigeants et investisseurs dans cette réflexion.

C’est aussi clarifier dès le départ les modalités de sortie du dirigeant ou du salarié actionnaire. Le collaborateur qui part a-t-il l’obligation de vendre ? Comment et à quel prix ? Quelles conséquences si le détenteur des parts quitte l’entreprise suite à une faute grave ou une révocation ?

Retour d’expérience

  • Les plans de management package sont très difficiles à comprendre pour la majorité des bénéficiaires. Un travail d’explication et de pédagogie est indispensable.
  • Les salariés bénéficiaires hésitent à interroger leur employeur en raison du lien de subordination. L’avocat d’affaires peut jouer un rôle de tierce partie pour les informer et dissiper les zones d’ombre.